A la mort du duc de Bretagne, Jean III (le 30 avril 1341), faute d’héritier direct, deux compétiteurs se présentèrent pour recueillir sa succession : Jean de Bretagne, comte de Montfort et Charles de Blois.
Blog-Note
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Invitation à l'Evasion
- Par andegemon
- Le 22/06/2015
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❖ Invitation à l'Evasion ❖
Le Château de Carrouges vu du ciel
Sept siècles d'histoire
Carrouges est d'abord au XIVe siècle une place forte de la guerre de Cent Ans (donjon). Il devient un logis seigneurial au XVe siècle (aile Blosset), augmenté au XVIe siècle d'un châtelet d'entrée considéré comme le premier témoin de l'architecture de la Renaissance en Normandie. De nouveau fortifié au temps des guerres de Religion (bastion ouest), sa fonction de demeure de prestige s'affirme par la construction à la fin du XVIe siècle de deux ailes « classiques » et des escaliers qui les desservent dus à l'architecte François Gabriel.
Des hôtes célèbres
Les seigneurs de Carrouges reçoivent le roi Louis XI en 1473 puis Catherine de Médicis et sa suite en 1570.
Certains endroits demeurent propices à l'inspiration notamment pour jouer à Andegemon
Curieux cette corrélation entre les piliers du jeu et les quatres tourelles circulaires qui cantonnent le châtelet donnant accès au château...
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Cafe Racer 2015
- Par andegemon
- Le 17/06/2015
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✪ ✪ ✪
Déjà une année passée depuis le dernier Rendez-Vous à Montlhéry, toujours la bonne idée pour recevoir le bol de bonnes vibrations aussi bien mécaniques que musicales...
Dans quelques jours le Café Racer Festival ouvre ses portes pour deux journées exceptionnelles.
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Combat des Trente
- Par andegemon
- Le 25/03/2015
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Le 26 Mars 1351 - Le Combat des Trente
Le combat des Trente est un fameux épisode de la guerre de Succession de Bretagne qui se déroula le 26 mars 1351 sur la commune de Guillac (Morbihan), entre Josselin et Ploërmel, près du « chêne de la lande de Mi-Voie ».
EXTRAIT DE LA BORDERIE, HISTOIRE DE BRETAGNE, T III PAGES 507-530.
Bientôt, la Bretagne se trouva partagée en deux camps. La France ayant prit le parti de Charles de Blois, l’Angleterre se déclara pour Jean de Montfort, et alors commença la guerre de succession de Bretagne qui ne devait se terminer qu’au traité de Guérande, en 1364, par le triomphe de Jean de Montfort.Dès le début de la lutte, Ploërmel fut soumis par Jean de Montfort. Josselin, au contraire, resta fidèle à Charles de Blois ; de sorte qu’en 1351 une garnison anglaise, commandée par Bembro, sévissait à Ploërmel et qu’une garnison bretonne, commandée par Jean de Beaumanoir, occupait Josselin.
Indigné d’un pareil état de choses, Beaumanoir s’en fut trouver Bembro :
"Il faut en finir avec cette façon de tourmenter de la sorte le peuple [...]. Que Dieu soit juge entre nous ! Que chacun de nous choisisse trente champions pour soutenir sa cause.On verra de quel côté est le droit...". Puis on convient du nombre de combattants : trente de chaque bord ; du lieu de la rencontre : le chêne de Mie-Voie, à moitié route entre Ploërmel et Josselin ; et enfin de la date : le samedi 26 mars 1351.Beaumanoir choisit d’abord neuf chevaliers, puis vingt écuyers, tous des meilleures familles de Bretagne.
Dans le camp adverse il en allait autrement. Bembro n’avait pu trouver trente champions anglais. Il s’était vu obligé d’y adjoindre six aventuriers allemands et quatre bretons du parti de Montfort. Après avoir parlementé quelque temps sur le terrain, les deux troupes reculèrent chacun de leur côté, mais en faisant face, de manière à laisser entre elles un espace libre. Puis à un signal donné, elles se ruèrent l’une sur l’autre. Les Bretons, dans cette journée, ne perdirent semble-t-il que trois des leurs : Jean Rousset, Geoffroy Moëlon et Geoffroy Poulart. Du côté des Anglais, il y aurait eu, selon Froissart, une douzaine de morts, dont le chef Bembro.Telle fut la bataille des Trente, qui eut un retentissement considérable en Bretagne, et même en France et en Angleterre.
Peinture de Penguilly-L’Haridon (1811-1870) Le Combat des trente, 1857- Musée des beaux-arts de Quimper -.#Andegemon #Duel #Histoire. -
Leonard de Vinci et sa Muse s'amusent...
- Par andegemon
- Le 26/02/2015
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Léonard de Vinci jouant aux échecs avec sa Muse. Franz von Matsch
Franz Josef Karl Edler von Matsch (1861-1942) est un peintre et sculpteur autrichien de l'art nouveau.
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« Piètre disciple, qui ne surpasse pas son maître ! » Léonard de Vinci.
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Le Jeu de la Vie
- Par andegemon
- Le 26/01/2015
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« Le monde est un grand bal où chacun est masqué. »
- Vaunegardes -
peintures à l'huile de Victor Nizovtsev
#Andegemon #Artips
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Andegemon Voeux 2015
- Par andegemon
- Le 02/01/2015
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Meilleurs Voeux pour l'Année 2015 !
Andegemon vous souhaite une excellente Année 2015, que la force & la passion vous accompagnent...
#Andegemon #Evasion #Jeu
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Andegemon à Vernon
- Par andegemon
- Le 23/11/2014
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Marché de Noël à Vernon les 6 et 7 décembre 2014
Comme chaque année, la ville de Vernon organise son traditionnel marché de Noël à l'Espace Philippe-Auguste, les 6 et 7 décembre 2014,
Andegemon y sera présent et vous dévoilera une petite surprise...
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Polyptyque de Beaune
- Par andegemon
- Le 23/09/2014
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Art sacré
Rogier van der Weyden est le second pilier de l'art flamand du 15e siècle. Il déroule une carrière très brillante, installé à Bruxelles après un apprentissage à Tournai. Au service de la cour de Bourgogne et des institutions civiles et religieuses voisines, il connaît un immense succès commercial. Son atelier nous a laissé d'assez nombreux tableaux (35 d'après le catalogue raisonné de Dirk de Vos) mais aussi quelques dessins (une quinzaine d'attributions à l'atelier, très peu étant considérés comme de la main du maître). Leur dénombrement est rendu difficile par l'absence de signature et surtout l'abondance des copies ultérieures (pour voir la suite...)
Ici, détail du polyptyque du jugement dernier que l'on peut admirer
à l'hotel dieu de Beaune
Pour en savoir plus, consultez La droite ligne de Rogier van der Weyden (2)
#Andegemon #Artips #Archange
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Playtime
- Par andegemon
- Le 27/08/2014
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- PLAYTIME -
Voilà qui pourrait ressembler à une illustration d'une fable de La Fontaine...
"J'aime la force, et la force que j'aime, une fourmi peut en montrer autant qu'un éléphant."
Stendhal